Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 14:47

#08 Profit sans risque (The wrong Mr Wright)

Écrit par Arthur Weingarten et Bob Shayne, histoire développée pour la télévision par Phil Combest. Réalisation de Michael Hamilton.

 

 

L'histoire

La vie de mère célibataire n’est pas toujours simple. Richie et Cheryl se rendent compte que leur maman est irritable et tendue. Mais que faire ? Quand Richie en parle à ses amis, l’idée de faire rencontrer un bel exemplaire de la gent masculine à madame Adler germe bien vite dans l’esprit des géniaux ados.

Bien entendu, Richie met pour cela à profit son méga terminal : Ralf ! Grâce à lui, il inscrit Irene dans les dossiers de Compudate, une boîte de rencontres d'un nouveau genre. Peu de temps après, c’est un certain Dennis Wright qui est sélectionné pour rencontrer la maman solitaire.

Les ados organisent une entrevue avec Dennis au Burger Barn, histoire de s’assurer que ce dernier est correct. Comme le beau jeune homme semble au-dessus de tous soupçons, Richie lui demande de passer un soir à la maison. Irene, qui ignorait tout du "complot", est d’abord furieuse, mais elle change bien vite d’avis tant Wright est séduisant.

Pendant ce temps, Lew Farley enquête justement sur la société Compudate. En effet, cette entreprise semble plus intéressée par les comptes en banque des dames esseulées que par leur bonheur. Quand le brave journaliste apprend que son amie sort avec un homme venant de Compudate, il en informe Richie, qui est gagné par l’inquiétude. Les craintes de Farley semblent fondées, car Dennis est déjà à l’affût de l’argent que gère Irene pour le compte de la fondation venant en aide aux enfants nécessiteux.

 

Analyse

Un épisode très plaisant avec un rythme soutenu. Déjà, fin 1983, les scénaristes semblent avoir compris que les terminaux allaient s’immiscer dans tous les aspects de la vie quotidienne, et que l’ordinateur allait remplacer les rencontres faites « au bar du coin ».

Irene Adler a, pour une fois, un rôle un peu plus conséquent, ce qui n’est pas pour me déplaire, car, comme vous le savez, j’aime beaucoup Madelyn Cain. Il est bon de voir la maman de Richie et Cheryl prendre la vie du bon côté et avoir un peu de bon temps.

Rien de bien particulier à rajouter sur cet épisode, qui est sympa et de facture classique. Le final est très dynamique avec un petit tour dans un parc d’attractions où chacun va donner de sa personne pour coincer les bandits.

Particularités

Richie utilise son Password Penetrator Program afin d'accéder aux dossiers privés de Compudate.

Le rôle de Dennis Wright est tenu par Warwick Sims, qui est très convaincant dans son rôle de playboy. On a pu voir cet acteur dans des films comme Firefox au côté de Clint Eastwood ou dans un grand nombre de séries comme L’Homme qui tombe à pic, Arabesque, MacGyver ou encore Les routes du paradis. Warwick a malheureusement « quitté la scène » à tout jamais en 2005.

Scott Stevensen, qui interprète Robert Humphrey, le boss de Compudate, lui, n’est pas très actif, il a joué dans moins de dix productions sur toute sa carrière. À noter que l’on aperçoit quelques minutes Jourdan Fremin, la belle collègue de Lew, qui fait ici sa seconde apparition dans les locaux de la rédaction.

Note : 8,1

 

 

Partager cet article
Repost0
25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 17:45

Le blog a 5 ans !!! Avant tout merci à ceux qui viennent le visiter, et ils sont nombreux !

Je sais que cela fait un certain temps ou temps certain qu'il n'y a pas eu de mise à jour MAIS je vous promets de m'y remettre !!!

Un nouvel article est d'ailleurs fin prêt à être publié sous peu.

De plus, sachez que l'année 2016, devrait être une GRANDE année pour le blog tout comme pour la série MAIS motus et bouche cousue pour le moment ;-)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 14:18

Hello !

Il y a quelque temps je vous disais que l'on pouvait voir au détour d'un épisode un bout de la marque de Ralf sur le clavier de Richie. Alors ok je sais que Ralf est un assemblage de plusieurs ordis MAIS on voyait clairement "Tex Corp" sur le clavier. Grâce à Epopy, qui m'a contacté, nous savons qu'il s'agit probablement de la marque Xitex Corp, une marque de terminaux des années 80 !!

Grand merci à toi.

 

http://www.epocalc.net


 

clavier de Ralf

Partager cet article
Repost0
17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 17:04

Voici une belle photo promotionnelle de Gail Max alias Llewellen Farley, Jr ou plus simplement Lew (mais sachez qu'il aime plutôt se faire appeler Farley), le reporter de la Gazette de Los Angeles, qui n'est jamais loin de nos amis les Whiz Kids !

 

Gail Max

 

Merci à Laurent pour la photo.

Partager cet article
Repost0
9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 17:47

Linda Scruggs whiz kids09-1

 

 

On ne trouve que peu d'informations sur la belle Linda Scruggs, qui tient le rôle de la séduisante principale Miss Vance dans la série Les Petits Génies. J'ai néanmoins trouvé sur le net deux photos d'elle très jeune, et j'ai aussi réalisé de nouvelles captures d'elle.

 

En regardant sur le site IMDB, je me rends compte qu'elle n'a plus tourné depuis la fin des Whiz Kids, c'est à dire depuis 1984 et l'épisode Amen to Amen-re, autrement dit Enigma. Autre petite découverte, Linda a commencé sa carrière en 1973 dans une série nommée Salty, série que j'avais vue tout jeune car elle passait dans Les Visiteurs du Mercredi.


Linda Scruggs whiz kids09-2

 

Linda Scruggs jeune1

Linda Scruggs jeune2

 

Elle me fait craaaaquer ;-)


 


Partager cet article
Repost0
25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 13:50

Eric Legrand et Richie 02

 

Interview d'Éric Legrand réalisée par Jean-François Horvath

 

Il a été la voix de notre petit génie préféré, la voix de Richie Adler ! Il, c’est Éric Legrand un homme dont la voix vient régulièrement "chatouiller" nos oreilles tant au cinéma qu’à la télévision. J’ai le plaisir de partager avec vous l’interview qu’il m’a accordée.

Bonjour, monsieur Legrand, et encore merci d’avoir accepté mon interview. Voici donc quelques questions afin que nos lecteurs puissent mieux vous connaître.

JF: Comment êtes-vous arrivé dans l’univers du doublage ? *

EL: Je suis un comédien qui fait du doublage depuis maintenant de nombreuses années. J'ai suivi une formation somme toute assez classique : un an de cours privé avant d'être reçu au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris. Après quoi j'ai travaillé plus ou moins dans toutes les disciplines qui s'offrent aux comédiens (télévision, cinéma, théâtre, café-théâtre, radio, publicité, etc.). Le doublage, pour sa part, est littéralement venu me chercher. Et puis il m'a gardé... En effet, la vie a fait qu'au bout du compte c'est dans ce secteur que j'ai tracé mon sillon, sans l'avoir particulièrement recherché à l'origine.

JF : Selon vous, quelles sont les qualités essentielles pour faire carrière dans le doublage ?


EL: Bah… Si j'avais un mauvais esprit, je dirais qu'on peut faire carrière dans n'importe laquelle des activités qu'un comédien peut exercer sans avoir de qualités particulières autres que de l'entregent, des connaissances, de la famille, un grand capital de sympathie (vraie ou feinte) et savoir s'en servir, de l'arrivisme, des dents longues, peu de scrupules, de la chance… Et j'oublie certainement quelques autres de ces "qualités" qui n'ont rien à voir avec le talent et qui permettent de se faire une place (petite ou grande) en tant que comédien. Il y a des tas de gens talentueux qui, dans le doublage comme ailleurs, ne sont pas employés autant qu'ils le devraient à mon sens alors qu'on en voit travailler des tas d'autres beaucoup beaucoup beaucoup moins talentueux ! Et puis j'ajouterais  aussi que ce serait à mon sens une drôle d'idée que d'avoir envie de faire une carrière dans ce secteur…


Mais bon, je ne vais pas faire vilain garçon . Donc vous me demandez en somme quelles qualités il faut selon moi pour être un bon dans cette activité ? Eh bien du talent de comédien, d'abord, forcément ! Et puis, quoi… ? Bah, de l'oreille, de la finesse de perception, de la souplesse, avec la capacité d'adopter un rythme qui n'est pas celui qui serait celui qu'on aurait eu si on avait eu à interpréter le rôle soi-même devant la caméra. C’est-à-dire la capacité à la fois à se laisser vampiriser par quelqu'un d'autre et à entrer dans sa peau, puisque le doublage est le seul endroit où l'expression "entrer dans la peau de" est justifiée, étant donné qu'autrement (sur scène ou devant une caméra) c'est le personnage qu'on fait entrer dans sa propre peau, qu'on lui donne, n'est-ce pas !


Cela étant dit, prenons "Starsky et Hutch"… Les comédiens qui ont doublé cette série (je parle en tout cas de Jacques Balutin et Francis Lax qui, en français, ont donné leurs voix aux deux héros) ont tout repris à leur compte sans respecter l'original, et c'est cette trahison qui a été certainement à l'origine de l'impact qu'elle a eu chez nous. Elle n'aurait très probablement pas eu le même succès en France s'ils ne s'étaient pas autorisé cette infidélité. Ils ont donc eu raison, même si à mes yeux ils ont eu tort d'un point de vue strictement déontologique. Je crois toutefois que cela ne se fait plus aujourd'hui et ne pourrait plus se faire. La possibilité pour le public d'avoir accès facilement à la VO rend presque incontournable l'obligation de respecter celle-ci, je pense.
 
JF: Quelles sont (s’il y en a) les différences fondamentales entre le travail sur un film ou sur les planches et le doublage d’un film ?


EL: Le fait qu'on ne joue pas soi-même mais par l'intermédiaire d'un autre, pardi ! Et qu'on ne joue qu'avec sa voix même si les comédiens bougent devant la barre lorsqu'ils enregistrent et font parfois (souvent même) des gestes similaires à ceux des acteurs qu'ils doublent. Et puis le fait qu'on n'a donc rien à inventer mais simplement à recopier, en somme. Par conséquent on n'a pas à répéter en amont. C'est un travail de l'instant. On écoute et on regarde, on reçoit, on restitue. C’est-à-dire qu'au fond c'est un travail qui rend paresseux le comédien. Je trouve.

JF: Existe-t-il de grandes différences quand on double un dessin animé, une série ou un film ?


EL: On a plus de temps quand on fait un film, et on a généralement (mais pas toujours non plus) un meilleur texte français. Par ailleurs le travail sur un dessin animé permet souvent une plus grande liberté d'interprétation et inflige infiniment moins de contraintes au niveau du synchronisme. Quand il s'agit des dessins animés japonais, en tout cas. Et puis les dessins animés forcent en principe à jouer les choses un cran au-dessus de ce qu'on ferait avec un personnage en chair et en os tout en essayant de rester sincère. C'est un exercice assez particulier qui n'est pas aussi simple qu'il peut en avoir l'air.

JF: Avez-vous besoin de bien connaître la série ou le film que vous doublez pour vous imprégner de son ambiance ?


EL: Ben non. On n'en a même pas du tout besoin puisque, comme je l'ai dit plus haut, c'est le personnage qui est à l'écran qui nous dicte sur l'instant ce qu'on doit faire ! On peut travailler sur un rôle sans rien savoir de l'histoire, même s'il est préférable pour notre confort d'en connaître un minimum. Il suffit de comprendre ce que joue l'acteur qu'on doit doubler et de savoir pourquoi il est en train de faire ce qu'il fait afin d'avoir nos appuis intérieurs. Tout le reste n'a aucune importance.

JF: Vous avez également fait du théâtre et du cinéma, préférez-vous être sur les planches ou devant la caméra ?


EL: J'aime jouer, avant tout. A force de travailler devant un micro c'est là que je suis le plus chez moi, à présent, mais c'est au théâtre que je me sens le plus heureux. Parce qu'on y raconte une histoire qu'on prend au début et qu'on déroule dans l'ordre jusqu'à la fin sans être interrompu, et parce que le public pour lequel on le fait est devant nous. Une scène est un lieu magique, et une représentation est un moment de bonheur intense hors du temps. Le plaisir de tourner est incomparablement moindre pour moi. En tout cas extrêmement différent, d'une tout autre nature.


J'ai récemment lu que Kristin Scott-Thomas, une remarquable comédienne soit dit en passant, avait décidé d'arrêter le cinéma pour se consacrer uniquement au théâtre parce que, entre autres choses, elle ne pouvait plus "supporter d'être assise pendant des heures dans une grosse remorque de luxe, dans l'attente, en m'ennuyant."


Je n'ai jamais eu de remorque de luxe (j'y aurais d'ailleurs peut-être bien mieux supporté l'attente lorsqu'il m'est arrivé de tourner ! Surtout avec un gros chèque à la clé…) mais je la comprends très bien. Ce dont elle se fout éperdument, nous sommes d'accord. Mais bon, c'était pour répondre à la question. 

JF: Pour nous, fans de la série « Les Petits Génies », vous êtes avant tout la voix de Matthew Laborteaux alias Richie Adler, mais vous avez également été la voix de nombreux autres personnages. Auriez-vous un souvenir, une anecdote à propos de cette série, d’une autre série ou même d’un film en particulier ?


EL: Bah non… Mais le doublage est une activité peu propice aux "anecdotes", je pense. Quoi qu'il en soit je n'en ai aucune dans ma besace...

JF: Y a-t-il des doubleurs (RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH) avec qui vous aimez particulièrement travailler ? (Je pense que je dois lire "comédiens" ? **)


En admettant que j'en aie, ce serait indélicat de ma part pour les autres de les citer !   Mettons que plus ça va et plus j'aime surtout travailler avec des gens avec lesquels je m'entends bien dans la vie. Et s'ils ont du talent, tant mieux. Mais la vie est trop courte pour se permettre de faire passer au premier plan dans le travail autre chose que le plaisir de l'instant et de la bonne humeur. Travailler sur des belles choses mais dans la douleur et/ou avec des gens désagréables qu'on n'aime pas ? Oh non ! J'ai fait, je n'ai plus envie de faire. On y perd son temps et son énergie, au bout du compte. Pour moi en tout cas. Je préfère un petit pique-nique sur le pouce avec 3 rondelles de saucisson mais en bonne compagnie plutôt qu'un dîner dans un grand restaurant avec des gens qui m'emmerdent.

Un très grand merci de m’avoir accordé un peu de votre temps. Et à bientôt, j’espère !


* Extrait du site d'Éric.


** Je tiens à vous dire, chers lecteurs, qu’Eric est un sacré personnage, qui a le contact facile et qui est toujours ouvert au dialogue, ce qui est sans doute un peu normal vu son métier  Mais retenez bien une chose que j’ai apprise grâce à lui, on ne doit pas parler de lui et de ses collègues en utilisant le terme « doubleur » (qu’il déteste !) mais bien celui de comédien. Chapeau bas, l’artiste !

Lien vers le site officiel d'Éric Legrand: http://ericlegrand.fr

 


Partager cet article
Repost0
25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 13:46

i-ragazzi-del-computer

 

Le blog "Les Petits Génies" a déjà 4 ans !!! Merci à ceux qui viennent lire mes articles régulièrement. Je suis toujours motivé pour vous offrir le meilleur au sujet de nos héros ! Pour preuve, une superbe surprise dans le prochain article juste au dessus de celui-ci ;-)

Partager cet article
Repost0
24 avril 2014 4 24 /04 /avril /2014 16:26

Le Burger Barn est le lieu préféré des Petits Génies dès qu'il s'agit de manger un bout et de se détendre un peu. On voit ce snack dans plusieurs épisodes. Il apparaît pour la première fois dans l'épisode 4: Candidat Au Meurtre, et dans le dernière épisode (jamais diffusé en France, comme plusieurs autres) intitulé May I Take Your Order Please, Alice y travaille même !

 

Cela fait un moment que je voulais le retrouver, et voir ce qu'il était devenu de nos jours. Grâce à mon ami américain, Joe, fan comme moi des Whiz Kids, c'est chose faite !!! Bravo, Joe !!!

 

Burger Barn

Le Burger Barn dans les années 80

Burger Bar in the eighties

 

Burger Barn present day

Le Burger Barn de nos jours

Burger Barn in the present day

 

 

* Tanx so much for your help, Joe !

 

 

Partager cet article
Repost0
19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 14:45

#07: LE RETOUR DE L'IDOLE (Return of the Big Rocker)

ECRIT PAR PAUL MAGISTRETTI. REALISÉ PAR BARRY CRANE

 

retour de l'idole 01

 

Dans cet épisode, nos quatre amis se la jouent musiciens. Ils font de la musique électronique, mais il leur reste à l’évidence pas mal de progrès à faire. En attendant, Farley et sa collègue Brenda sont au Blue Bamboo Bar dans lequel se produit depuis peu un certain Buddy Dean ; ce dernier chante comme la célèbre idole des années 60 morte dans un accident d’avion : Bobby Lee Janz.

Pendant ce temps, la Nas Corp Music, qui s’est spécialisée dans la découverte de chansons inédites interprétées par des artistes trop tôt disparus, prépare le lancement d’un album posthume du même Bobby Lee Janz, dans sa collection « Les Archives d’or ». Mais en vérité, les albums ainsi publiés ne sont que des faux, réalisés grâce à un procédé électronique mis au point par Julius, l’un des employés de la Nas.

Farley, lui, est certain que Buddy Dean et Bobby Lee Janz ne font qu’un. Il demande donc à son ami retour de l'idole 02Richie de venir avec lui dans les locaux de la police afin d’analyser la voix du chanteur grâce à un ordinateur spécial dont disposent les forces de l’ordre. Il ne faut pas beaucoup de temps au jeune Adler pour arriver à la même conclusion que le reporter de la Gazette.

Suite à un article de Farley, la nouvelle selon laquelle Buddy Dean serait la « réincarnation » de Janz commence à se répandre, et cela n’arrange pas les affaires de Monsieur North, le vice-président de la division musique de la Nas Corp. En effet, si Janz n’est pas mort, tout le monde apprendra bien vite que l’album posthume n’est qu’un faux ! Deux hommes de main sont chargés de retrouver Janz, et de le réduire au silence une bonne fois pour toutes.

Lew décide de rendre une petite visite aux « Archives d’or », afin de leur soutirer quelques infos, mais il est rapidement enfermé dans une « chambre sourde » où de fortes doses de décibels sont diffusées ; les méchants espèrent ainsi le faire rapidement craquer pour qu’il leur révèle où se cache Janz.

Heureusement, Richie, Bobby Lee et ses amis soupçonnent le mauvais coup. Ils se rendent eux aussi sur place pour retrouver Farley, et mettre un terme aux agissements de Julius et North.

 

Analyse


Je trouve cet épisode très sympa. Marjoe Gortner est très convainquant dans son rôle (Madelyn Cain en parle d'ailleurs dans l'interview que j'ai faite avec elle). Il n’a rien à envier à Jerry Lee Lewis, sur lequel son personnage semble être calqué ! Comme dans presque chaque épisode, une technique informatique est mise en avant, ici, il s’agit des possibilités offertes par les ordinateurs dans la reproduction des voix.


Particularités

On ne voit à aucun moment Ralf. Je trouve cela fort dommage, car un épisode des Whiz Kids sans Ralf me laisse toujours un goût de trop peu dans la bouche !

On fait la connaissance de Brenda Maguire (Jourdan Fremin), que l’on aperçoit de temps à autre brièvement dans quelques épisodes par la suite. Elle a, ici, un rôle un tout petit peu plus conséquent, même si elle disparaît fort vite pour laisser la place à Farley.


J’aime toujours autant Madelyn Cain dans son rôle d’Iren Adler. Elle est craquante quand elle se remémore ses souvenirs d’adolescente. C’est la troisième fois que la Nas Corp fait parler d’elle dans la série. Cette compagnie semble être derrière presque tous les mauvais coups. Le moins que l’on puisse dire c’est que cette boîte est dirigée par de vrais malfrats !

Au final, nous avons ici un épisode plaisant, avec de très bons moments, et toujours très divertissant, même si Ralf était en congé dans cette histoire. C’est d’ailleurs cette absence qui fait baisser la note finale.

Note :7,9/10

 

mc return of the big rocker2

Partager cet article
Repost0
18 avril 2014 5 18 /04 /avril /2014 16:35

Brenda est la ravissante collègue de Lew à la Gazette. La voici sous un autre "angle" ;-)

 

Jourdan Fremin

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Les Petits Génies-Whiz Kids
  • : Blog dédié à la série télé "Les Petits Génies" diffusé en 1984 sur Antenne 2. Les aventures d'un génie de l'informatique et de ses amis. Ce blog est c) SK2000 (JF Horvath) aucune utilisation d'aucune partie du blog (images ou textes) ne peut être faite sans mon accord écrit. Merci de respecter mon travail!!!
  • Contact